Comme nous avons pu le voir précédemment, les œuvres de Jean-Luc Plé trouvent leurs sources dans le patrimoine, l'histoire locale.
Ainsi chaque commune, chaque personne s'approprie l'œuvre à sa manière, mais l'appropriation la plus flagrante, celle qui a peut-être eu le plus de portée est celle des "chaînes brisées". En effet, c'est toute une ville-capitale qui s'est emparée de l'œuvre et de son symbole. Les "chaînes brisées" et la place -qui a été renommée en son honneur- sont le théâtre chaque année de la commémoration de l'abolition de l'esclavage. Quel bel hommage.
source : France Guyane - 9 juin 2014
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