1 - Histoires d’œuvres et de ronds-points : anecdotes et malédictions
On passe devant sans nécessairement les voir,
on tourne autour, on repart. Les œuvres d’art sur les ronds-points font
partie de notre quotidien sans que l’on connaisse vraiment les histoires
qu’elles ont à nous raconter. Dès lors, en voici quelques-unes…
Découvrez-le dans un extrait du JT de la RTBF, en vidéo (archives Sonuma).
Des échasseurs salés
À Namur, les «Échasseurs» trônent fièrement à une extrémité du pont des Ardennes. Ils sont l’œuvre du Namurois Guy Leclercq. Il nous raconte leur histoire et leurs déboires.
ÉdA – Jacques Duchateau |
2/4 - L'art giratoire en Wallonie: les ronds-points, ces musées à ciel ouvert (Webdoc)
3/4 - Le top 10 des plus belles œuvres d’art sur les ronds-points de Wallonie
Qu’est-ce qui fait qu’une œuvre d’art est belle ou pas. C’est subjectif, chacun ayant son regard, ses références, en fonction de goûts bien particuliers.
Louis Richardeau, professeur d’histoire de l’art, relève quelques caractéristiques qui permettent de démarquer certaines œuvres:
«Personnellement, je suis sensible à l’abstraction. Quand on est dans l’abstrait, on ouvre bien d’avantage la porte aux imaginaires. Ces œuvres sont intemporelles. C’est difficile d’établir des critères, on reste dans une certaine subjectivité. Il y a des impératifs incontournables: la vitesse de vision, l’intégration au site, la visibilité, la lecture de l’œuvre, la cohésion avec le paysage. Les gens ne vont pas s’arrêter pour regarder l’œuvre, l’artiste doit prendre tout cela en compte. J’imagine que les plasticiens qui acceptent ce type de projet doivent savoir que c’est une œuvre qui est vue à 60 km/h ou plus. Ça doit rentrer en ligne de compte dans la conception même de l’œuvre. C’est aussi pour ça que certaines œuvres fonctionnent et d’autres pas. Un peu comme pour une publicité.» (lire la suite)
4/4 - Le flop 10 des pires œuvres d’art sur les ronds-points de Walloni
On préférera le terme «incongrues» plutôt que «moches, nazes, laides»
Tout choix artistique étant de toute façon très subjectif, nous ferons preuve ici d’une parfaite mauvaise foi, pleinement assumée.
En reprenant l’analyse de «notre» expert Louis Richardeau, professeur d’histoire de l’art, nous pouvons sélectionner quelques œuvres pas vraiment enthousiasmantes. (lire la suite)
(source : www.lavenir.net - juillet-2017 - Jacques Duchateau
- L'Avenir)
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